



Dominik Richert
En 1914, alors qu’il était posté dans le nord de la France, on ordonna à Richert de s’aventurer en terrain dangereux :
« Puisque c’était la mort assurée, j’ai refusé d’y aller, bien que mon supérieur m’ait crié dessus. Un sous-officier m’a donné l’ordre de sauter. Je lui ai répondu de sang-froid qu’il n’avait qu’à me montrer comment faire, mais lui-même n’en a pas non plus eu le courage. »